top of page

Recherche

317 éléments trouvés pour «  »

Événements (310)

Tout afficher

Partages (7)

  • Comment tuer la bête noire?

    Série : La bête noire - Partie 3 Article rédigé à partir du message du pasteur David Naud   Novembre est un mois de l’année souvent associé à des temps difficiles comme la dépression, l’anxiété, la mauvaise humeur ou d’autres défis émotionnels qui rendent cela difficile de vivre une vie épanouie et remplie de la joie du Seigneur. Pasteur David Naud nous propose une façon de « tuer la bête noire », cet obstacle souvent insurmontable par soi-même. Que l’obstacle soit physique, émotionnel ou spirituel, l’affronter sera plus efficace si la sagesse et l’utilisation des moyens présentés dans la Bible font partie de notre arsenal. L’apôtre Paul en propose justement dans sa lettre aux Philippiens : «  Le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées. Ce que vous avez appris, reçu et entendu de moi, et ce que vous avez vu en moi, pratiquez-le. Et le Dieu de paix sera avec vous.  »   (Ph 4.5-9) Adapté au langage d’aujourd’hui, on pourrait utiliser les termes : Panique pas – Pense – Prie et Pratique. Ce sont les quatre clés proposées par Paul. Chacune des étapes (des clés) est essentielle, de même que les exécuter dans le bon ordre. Cela contribue grandement à la réussite, car il est nécessaire d’utiliser chacune d’elles.  Il s’agit d’une dynamique et non de gestes isolés. L’interaction entre chacune des clés et le processus continuel de passer de l’une à l’autre font réellement la différence. L’ennemi cherche toujours nos moments de vulnérabilité. Nous pouvons mieux lui résister en étant mieux informés et en appliquant cette dynamique dans notre vie. Panique pas La première clé : «  Panique pas  », nous rappelle notre besoin de nous recentrer sur Christ.  Même si une accumulation négative s’est produite en nous, nous pouvons et nous devons chercher à retrouver la joie dans le Seigneur. Nous ne sommes pas seuls pour y parvenir.  Et lorsque nous réalisons que les soucis sont trop grands, nous avons besoin de la deuxième clé : « la Prière  ». Prie En ouvrant vraiment notre cœur à Dieu et en le remerciant pour tout, on tombe dans le mode où « on parle des vraies affaires » avec Lui. Commençons en discernant nos vrais besoins, et apportons-lui nos demandes de tout cœur, avec supplications (utiliser l’intensité qui correspond à la situation). Remercions-le ensuite sincèrement pour tout ce qu’Il fait pour nous. Cette prière plus intime nous permet de montrer à Dieu que nous avons besoin de Lui et que notre démarche est en cours pour améliorer la situation. Nous nous plaçons ainsi dans de meilleures dispositions pour passer à l’étape suivante : «  Pense  ». Pense De bien orienter nos pensées n’est sûrement pas ce qui est le plus facile ! Raison de plus de le faire en compagnie de Dieu. En utilisant le filtre biblique qui scrute l’objet de nos pensées, nous pouvons nous demander si nous avons la pensée de Jésus. Est-ce vrai, honorable, juste, pur, aimable, digne d’approbation, vertueux, digne de louange ? Si c’est le cas, la réussite est en vue. Sinon, il faut retourner à la prière. Nous avons alors besoin d’orienter nos pensées sur les vérités de Dieu. Il s’agit là d’une étape cruciale qui nous permet de passer à la quatrième clé : « la Pratique  ». Pratique Sans efforts, la bête noire ne sera pas vaincue.  Il faut donc mettre en pratique ce que la prière et les pensées vertueuses nous ont apporté. On gagne ainsi en maturité, on se transforme, on vit le positif des changements souhaités.  Inspirons-nous de bons exemples autour de nous, tels que des chrétiens matures et pleins de foi, comme l’écrit Paul. Nous pouvons évidemment regarder avant tout vers Jésus – notre modèle ultime. Tout ce qu’il a fait nous démontre un chemin sûr. Soyons en action ! En   conclusion, rappelons-nous que d’utiliser au quotidien cette dynamique des quatre clés aura un impact bénéfique sur notre vie.  Comme on peut le lire dans Philippiens : «  Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ… Et le Dieu de paix sera avec vous .  » Dans la vie de tout chrétien, il est possible de viser à ne pas rester dans le souci, mais plutôt à vivre dans la joie et la paix du Seigneur… malgré les soucis.

  • Être ou ne pas être !

    Série: La bête noire - Partie 1 Article rédigé à partir du message du pasteur David Naud   À l’origine, notre bête noire est notre pire ennemi, notre pire cauchemar, la personne ou la chose qui nous répugne, que l’on déteste le plus. Avec le temps, l’expression s’est adoucie. Elle désigne désormais tout ce qui peut être gênant ou irritant.   La vie, la mort... la souffrance Vous est-il déjà arrivé, pendant une saison souffrante, physiquement ou psychologiquement, de votre vie, de vouloir abandonner vos projets, votre famille, vos amis, votre église, voire même, la vie? Quand Paul, en prison, écrit sa réflexion sur la vie et la mort dans sa première lettre aux Philippiens, nous pouvons ressentir la douleur face au dilemme de sa souffrance: ... Soit par ma vie, soit par ma mort ... Christ est ma vie et mourir représente un gain .  Je suis tiraillé des deux côtés: j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur , mais à cause de vous il est plus nécessaire que je continue à vivre ici-bas (Ph 1.20-24). Et enfin, l’apôtre conclu sa réflexion au verset 25:  Persuadé de cela, je sais que j e resterai et demeurerai avec vous tous , pour votre progrès et votre joie dans la foi.   Reste dans la lumière Comme il est vital pour l’être humain de recevoir les rayons du soleil pour le bien-être du corps, il est d’autant plus indispensable, pour l’être spirituel d’un chrétien, de rester dans la lumière de Christ. C’est-à-dire, sa présence qui brille sur nous. Paul met en lumière son état d’âme. Ne craignons pas de partager nos souffrances et inquiétudes à une personne de confiance. Pour sa part, l’Esprit du Seigneur, par la Parole de Dieu, met en lumière notre style de vie et nous donne sa paix. Par sa résurrection, le Christ nous donne espérance, guérison et vie dans notre âme et nos pensées, afin que nous vivions en paix! Ne restons pas cachés, isolés des autres et de Dieu. Dieu veut se glorifier en nous.   Christ est ma vie Au verset 21 du premier chapitre de l’épître aux Philippiens, Paul déclare: Christ est ma vie et mourir représente un gain. « DEVANT UNE TELLE RÉVÉLATION DE CHRIST, VIVRE OU MOURIR POUR JÉSUS NE FAIT PAS PEUR, ON EST DÉJÀ GAGNANT ! » La vie de Paul est entre les mains de Dieu. Malgré toutes les perspectives devant lui, si sa vie arrête, il est en paix, mais Paul ne se permet pas de mettre un terme à sa vie. Ne laissons pas l’anxiété et le stress prendre le dessus sur la vie que Dieu veut pour nous. Que nous vivions longtemps ici-bas, en santé, dans la maladie ou que nous mourrions bientôt, nous n’avons pas à craindre la mort, car Christ est ma vie . Face à la souffrance, la détresse ou la mort, nous avons une paix profonde, car notre vie est entre les mains de Dieu.   Le trio gagnant! Philippiens 1.20 Conformément à ma  ferme attente  et à mon   espérance , je n’aurai honte de rien, mais   maintenant comme toujours, la grandeur de Christ   sera manifestée avec une pleine assurance  dans   mon corps, soit par ma vie, soit par ma mort . Un des objectifs en tant que chrétien, est d’arriver à s’approprier ces trois convictions : ·         Ferme attente (ardent désir) ·         Espérance (attente joyeuse et confiante) ·         Pleine assurance (plein de courage) À l’image d’un trio offensif d’une équipe de hockey qui s’empare de la rondelle, ce trio se dirigera le plus rapidement possible vers le but adverse alors qu’il se confie en Christ. Les trois joueurs patineront avec une ferme attente  d’être épaulé les uns par les autres (s’encourager) et de se diriger vers le but, avec l' espérance joyeuse de déjouer les défenseurs (anxiété, dépression...) et le gardien de but (la bête noire). En définitive, le trio possède une pleine assurance  de marquer un but (la victoire, la guérison, la vie). Marchons (ou patinons) dans l’optique de vivre avec une ferme attente, dans l’espérance, avec une pleine assurance et la grandeur de Christ sera manifestée à travers nous. Avec ce trio, nous serons gagnants sur toute la ligne, car Christ est avec nous !   Vivre ou mourir (Moïse, Nombres 11) Le peuple sort d’Égypte miraculeusement, se lamente de n’avoir que de la manne pour se nourrir (v.10). Pendant ce temps, Moïse se plaint à Dieu du peuple trop lourd à porter (v.14) et lui exprime ce cri du cœur :   Plutôt que de me traiter ainsi, tue-moi donc, si j’ai trouvé grâce à tes yeux, et que je ne voie pas mon malheur (v.15). C.S. Lewis explique bien cet état, cette condition: La douleur mentale est moins dramatique que la douleur physique, mais elle est plus commune et aussi plus dure à porter. Dieu donne une réponse pleine de vie et d’espoir à Moïse aux versets 16 et 17 car il ne lui permet pas de mourir, mais il lui ordonne ceci : ·         Va chercher du soutien ; ·         Entoure-toi de personnes d’expérience ; ·         Ne porte pas la charge tout seul.   Vivre ou mourir (Élie, 1 Rois 19) Après une grande victoire contre les prophètes de Baal, la reine Jézabel cherche à faire mourir le prophète Élie (v.2). Celui-ci prend la fuite, laisse son serviteur (v.3) et demande la mort (v.4): C’est assez! Maintenant, Éternel, prends-moi la vie, car je ne suis pas meilleur que mes ancêtres. Même s’il fuit pour sauver sa vie, Élie demande la mort. Il n’est pas bon, en situation de stress, de rester seul. Pourtant, le prophète décide de laisser son serviteur et poursuivre son chemin seul dans le désert toute une journée négligeant même de manger. Encore une fois, Dieu répond avec compassion, tendresse et compréhension : ·         Repose-toi et mange bien (v.5) ; ·         Viens dans ma présence et écoute ma voix (v.9-14) ; ·         Prépare la relève (v.15-16) ; ·         Réalise que tu n’es pas seul (v.18) ; ·         Le plan de Dieu n’a pas échoué, sa promesse s’accomplira !   Être ou ne pas être... avec Christ Malgré la bête noire qui nous assaille, ne fuyons pas la réalité que Dieu a un plan pour nous. Nous ne sommes pas seuls. Ne nous privons pas des ressources d’aide, des frères et sœurs de notre Église et des gens de confiance autour de nous.  Par-dessus tout, confions-nous en Dieu. Il est celui qui comprend nos douleurs et est attentif à nos cris. Approchons-nous de Dieu avec une ferme assurance qu’il nous donnera le repos pour notre corps et notre âme! Disons ensemble: « Je décide d’ être  avec Christ! »   Il y a des ressources, tu n’es pas seul !   GROUPE D'AIDANTS À L'ÉGLISE : relationdaide@eglisefusion.com ou appelle à l'église au 450 375-6946   CENTRE DE PRÉVENTION SUICIDE HAUTE-YAMASKA BROME-MISSISQUOI Besoin d'aide ? Parlez à quelqu'un aujourd'hui : 450 375-4252 LIGNE D'AIDE EN CAS DE CRISE DE SUICIDE, 24/7 9-8-8 ou https://988.ca/fr

  • L'aveuglement spirituel et l'évangélisation

    Série : Levez les yeux ! - Partie 4 L’évangélisation n’est pas une mince affaire. Dès que nous ouvrons la bouche pour annoncer l’Évangile de Dieu, la bonne nouvelle du salut en Christ Jésus, nous sommes confrontés à une présence imperceptible, inévitable et inextricable. De plus, l’effet le plus puissant de cette présence est l’esclavage.  De quoi parlons-nous ? De l’irréductible présence de l ’aveuglement  ! L'aveuglement Il n’était pas présent lors de la création de l’être humain. Il s’est attaché à la nature humaine en raison de son lien avec le péché. Il est depuis impossible de naître dans l’éclairage de la vérité de l’Évangile. Tous les êtres humains sont des aveuglés ! Il faut cependant préciser la nature de cet aveuglement. L'aveuglement dont nous parlons va au-delà de l'absence de la vue ou de la cécité. Il n’est pas physique. Il affecte les dispositions intérieures de l'homme, les valeurs et tous les principes structurants de l'identité. L’aveuglement provient de trois sources identifiables. Dieu Dieu est l’une de ces sources. Dans l’Évangile de Jean 12. 37-40, il est écrit : « Malgré tant de miracles qu’il avait faits en leur présence, ils ne croyaient pas en lui, afin que s’accomplît la parole qu’Esaïe, le prophète, a prononcée : Seigneur, Qui a cru à notre prédication ? Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé? Aussi ne pouvaient-ils croire, parce qu’Esaïe a dit encore: Il a aveuglé leurs yeux; et il a endurci leur cœur, De peur qu’ils ne voient des yeux, Qu’ils ne comprennent du cœur, Qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. » La condition d’aveuglement est attribuée à l’action de Dieu. C’est lui qui a rendu aveugles les personnes visées. Il est possible que des conditions préalables à l’action de Dieu fussent présentes. Le diable Une autre source d’aveuglement provient du diable lui-même. Sa tactique d’aveuglement a pour but d’entraver le processus de conversion. L’apôtre Paul écrit : « Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent; 4 pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne vissent pas briller la splendeur de l’Évangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu. » (2Co 4.3) Le travail du diable consiste à stimuler l’aveuglement déjà présent chez l’incroyant, dès que le message salvateur lui est présenté. La religion             Une troisième source d’aveuglement nous est présentée dans la deuxième lettre aux Corinthiens au chapitre troisième. En parlant de ces frères juifs, Paul souligne l’évidence de la présence d’un aveuglement en lien avec la foi des Juifs en l’ancienne alliance. Tant et aussi longtemps qu’une personne s’imagine que la religion est la porte du salut, il lui est impossible de vivre l’expérience de l’enlèvement du voile . Regardez ce que dit l’apôtre : « 14 Mais ils sont devenus durs d’entendement. Car jusqu’à ce jour le même voile demeure quand ils font la lecture de l’Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c’est en Christ qu’il disparaît. » (2Co 3.14). Ce n’est que dans l’expérience de la nouvelle naissance que le voile disparaît (Jn 3.3-6). La nature et les résultats de l'aveuglement de l'incroyant             L’Écriture nous donne d’autres indices qui nous permettent de comprendre la nature et les résultats de la présence de l’aveuglement surnaturel chez l’incroyant. Le sens du divin            Un élément surprenant est la continuité du «  sensus divinatatis » , le sens du divin. Malgré la présence de l’aveuglement surnaturel, la connaissance de Dieu ou du divin n’est pas éradiquée de la constitution de l’être humain. Nous retrouvons dans la lettre aux Romains : « … puisque ayant connu Dieu , ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres… » (Rom 1.21).             Le refus de la connaissance Le refus de la connaissance de Dieu et de sa bonne nouvelle du salut résulte de l’action humaine. Le fruit du refus est ressenti dans l’intériorité de l’être humain. L’égarement des pensées et le cœur sans intelligence qui a été plongé dans les ténèbres caractérisent les raisonnements et les comportements des êtres humains de sorte que Dieu a livré les incrédules à des passions infâmes (Rom 1.24, 26) et à un schème de références désapprouvé (Rom 1.28) qui engendre inévitablement des comportements dignes du jugement de Dieu (Rom 1.29-32).             Nous retrouvons la même pensée dans la lettre de Paul aux Éphésiens « Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c’est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. 18 Ils ont l’intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l’ignorance (aveuglement) qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur cœur. 19 Ayant perdu tout sentiment, ils se sont livrés à la dissolution, pour commettre toute espèce d’impureté jointe à la cupidité. » (Ép 4.17-19) Le grand verdict de l’aveuglement dont nous parlons est : « Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous… » (Rom 1.22). L'évangélisation face à l'aveuglement              Voilà ce que tout témoin de l’Évangile rencontre lorsqu’il partage le message du salut à ceux et celles qu’il rencontre. L’aveuglement a affecté négativement l’intelligence, la volonté, la source des raisonnements et l’éthique qui gouvernent les comportements. En des mots simples, l’incroyant est « framé » (préstructuré) pour la résistance à l’Évangile. À moins d’une intervention du Saint-Esprit, la réception du salut est impossible. C’est pour cette raison que la conversion est avant tout un acte de l’Esprit qui rend témoignage à notre esprit que nous sommes des enfants de Dieu, des héritiers (Rom 8.16).             C’est ici qu’il faut bien comprendre la place de l’évangélisation. Notre part dans le processus du salut n’est pas de convertir l’incrédule, mais de lui présenter le message du salut. C’est l’Esprit qui converti, ce n’est pas nous ! Notre job c’est d’évangéliser, de présenter ce que Dieu nous a fait en Christ Jésus par l’action de son Esprit. En d’autres mots, c’est de proclamer notre témoignage. Dans sa souveraineté, Dieu a décrété que la conversion serait le résultat de la participation de notre prédication (notre part) et de l’action du Saint-Esprit (sa part). Nous devons nous concentrer sur notre part et non sur celle du Saint-Esprit. Toi, témoigne et prêche le salut. L’Esprit de Dieu, qui connaît les cœurs et qui a la puissance de pénétrer l’être humain dans tous les racoins de son âme, convaincra   le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement (Jn 16.8). Conclusion             Puisque Dieu a son propre plan et qu’il a décrété que la nouvelle naissance serait le résultat de la contribution de la prédication de l’Évangile par le croyant et l’action du Saint-Esprit, n’hésitons pas à témoigner à tous les aveugles, car pour eux, c’est le seul moyen pour parvenir à la lumière, « Car auprès de toi est la source de la vie; Par ta lumière nous voyons la lumière. » (Ps 36.9)

Tout afficher
bottom of page